Chroniqueur Cho crie : Ah, réunis pour de nouvelles aventures, mais j’ai bien peur que les circonstances actuelles soient beaucoup plus sombres.
Chroniqueur Cho crie : Ah, vous avez réussi ! Les eaux ont retrouvé leur pureté.
Chroniqueur Cho crie : Autrefois, les titans utilisèrent ces eaux pour créer et former toute vie en Pandarie.
Chroniqueur Cho crie : Ce sont elles qui maintenaient le val en constante floraison. Leur écoulement dans la vallée des Quatre vents a donné naissance aux terres agraires les plus fertiles au monde !
Chroniqueur Cho crie : Et aujourd’hui, la nocuité des Dieux très anciens se manifeste dans ces eaux.
Chroniqueur Cho crie : Il faudra encore du temps pour que le val guérisse, mais vous nous avez donné espoir !
Chroniqueur Cho crie : La terre est blessée, les arbres en fleurs se flétrissent et meurent tandis que les bassins se vident de leur eau.
Chroniqueur Cho crie : Sentez-vous leurs énergies vivifiantes vous traverser ?
Chroniqueur Cho crie : Une telle vilenie… Il faut la détruire, avant qu’elle ne s’infiltre dans le sol et corrompe toute la Pandarie !
Chroniqueur Cho dit : À chaque génération, l’essaim des mantides assaillit le mur de l’Échine du Serpent en très grand nombre. Ils tuent de nombreux Pandarens, alors nous tuons plusieurs fois ce nombre des leurs en retour. Et pourtant à chaque génération, ils attaquent à nouveau. Pourquoi font-ils cela ?
Chroniqueur Cho dit : À vous de le décider, mon ami.
Chroniqueur Cho dit : Ah, mais il y a un problème, si l’on crée une arme vivante. Le voyez-vous ?
Chroniqueur Cho dit : Ah, mais quelles créations terrifiantes !
Chroniqueur Cho dit : Ah ! Vous souhaitez connaître l’histoire du dernier et du plus grand de nos empereurs, Shaohao ? Mon ami, je n’ai pas le temps pour l’instant de vous conter toutes ses aventures, mais ses actes il y a dix mille ans se font encore sentir aujourd’hui même.
Chroniqueur Cho dit : Aujourd’hui, je suis convaincu que les Mogu croyaient poursuivre l’entreprise des titans. Ils combattirent les mantides et utilisèrent les pouvoirs du val pour créer la vie.
Chroniqueur Cho dit : Bien sûr, le roi pensait que s’il les aidait avec leur problème de Trolls, ils pourraient lui confier davantage de troupes pour sa campagne contre la Horde.
Chroniqueur Cho dit : Bientôt, ils commencèrent à tuer les Mogu eux-mêmes.
Chroniqueur Cho dit : Cela est bien connu, et des temples honorent ces lieux sacrés parmi les sacrés.
Chroniqueur Cho dit : Ces nobles chasseurs trouvèrent un moyen de survivre seuls. Le feu était la clé. Ils exploitèrent le naphte du sol. Ils s’en servirent pour chauffer leurs maisons, cuire leur nourriture, et brûler leurs ennemis. Ils devinrent FORTS.
Chroniqueur Cho dit : Comme vous l’aurez compris : le pouvoir se prend facilement, mais ne doit pas être donné à la légère.
Chroniqueur Cho dit : Considérez ceci : la plus petite des voix peut changer le monde. Souvenez-vous-en, cher ami, la prochaine fois que vous décidez de commencer à lancer des pierres !
Chroniqueur Cho dit : C’est moi, car je détiens l’épée !
Chroniqueur Cho dit : Dans le murmure des eaux, ils entendent l’avenir.
Chroniqueur Cho dit : Dans les jours anciens qui ont précédé la Fracture du monde, les empereurs mogu régnaient sur la Pandarie. Mon peuple a été asservi, et il avait peur.
Chroniqueur Cho dit : De père en fils, de mère en fille. En tant que parents, nous transmettons un héritage à nos enfants.
Chroniqueur Cho dit : Et ainsi Moira et le haut roi partirent dans la neige pour sauver la ville, laissant les autres réfléchir sur le sens de leurs actes.
Chroniqueur Cho dit : Et c’est d’autant plus vrai quand les parents sont des dieux et leurs enfants, des monstres.
Chroniqueur Cho dit : Et ils façonnèrent un creuset de vie magique, dans une vallée cachée que nous appelons aujourd’hui le val de l’Éternel printemps.
Chroniqueur Cho dit : Et le petit de conclure : « J’aimerais beaucoup vivre comme un hozen ! »
Chroniqueur Cho dit : Et quand ils se relevèrent… ils le firent en tant que guerriers.
Chroniqueur Cho dit : Il était une fois… Il y a très peu de temps, en fait. Un grand roi vint chercher de l’aide auprès de trois puissants nains : le conseil des Trois marteaux.
Chroniqueur Cho dit : Il y a bien longtemps, quand les Pandarens étaient les esclaves de l’empire mogu, les armes nous étaient strictement interdites. Et nul ne pensait pouvoir affronter les Mogu sans magie et sans acier.
Chroniqueur Cho dit : Il y a bien longtemps, un groupe de robustes chasseurs nomades parcourait le monde. Par un tour du destin, il se trouvait en Pandarie lorsque la Fracture sépara les continents d’Azeroth. Les nomades se retrouvèrent pris au piège dans les steppes de Tanglong, une terre rude et dangereuse.
Chroniqueur Cho dit : Il y a des millénaires, les Mogu détenaient tout le pouvoir. Ils dirigeaient ces contrées d’une main de fer. Mais comme leur empire grandissait, ils eurent besoin d’un moyen d’y maintenir l’ordre.
Chroniqueur Cho dit : Ils utilisèrent les pouvoirs du val, et leurs propres pouvoirs de transformation de la chair, pour dénaturer une race de féroces lézards et en faire une arme vivante. Ils créèrent une armée. Une armée de sauroks. Des sauvages assoiffés de sang créés pour faire respecter la volonté de l’empereur.
Chroniqueur Cho dit : Jusqu’à ce que je lance une pierre. Une si petite chose, mais bientôt, c’est tout l’étang qui ondule !
Chroniqueur Cho dit : Jusqu’à ce que Kang, le Poing de la Première Aube, nous ouvre les yeux.
Chroniqueur Cho dit : La rancœur s’amplifia chez les Mogu. Bien des générations plus tard, quand le roi-tonnerre les unifia, ils reprirent leur œuvre !
Chroniqueur Cho dit : La sagesse des plus grands sages parmi les jinyu est remarquable. Ils parlent à leurs rivières comme vous et moi demandons conseil à nos aînés.
Chroniqueur Cho dit : Le destin a-t-il été cruel envers les yaungols ? Autant se demander si le feu est bon ou mauvais.
Chroniqueur Cho dit : Le destin est comme le feu. Il peut nous façonner comme nous détruire.
Chroniqueur Cho dit : Le feu est l’instrument du changement.
Chroniqueur Cho dit : Le feu ! C’est le plus magique des éléments. Il nous réchauffe, il cuit notre nourriture. C’est l’âtre qui fait d’une maison un foyer. Entre les bonnes mains, le feu peut changer le fer en épées ou en socs. Non maîtrisé, le feu peut détruire une ville.
Chroniqueur Cho dit : Le père demanda ensuite à son petit ce qu’il avait appris.
Chroniqueur Cho dit : Le roi était furieux. « Si aucun de vous ne m’aide, alors Forgefer sera assiégée ! »
Chroniqueur Cho dit : Les cruels saurok, malgré leurs minuscules cerveaux de reptiles, saisirent sans tarder quelle était leur place. Ils tuèrent les ennemis des Mogu.
Chroniqueur Cho dit : Les éclaireurs du roi avaient découvert que des Trolls zandalari menaçaient la capitale des nains.
Chroniqueur Cho dit : Les fermiers, les maçons, les bergers et les forgerons… tous s’inclinèrent devant Kang. « Apprenez-nous, dirent-ils. Apprenez-nous à nous battre. »
Chroniqueur Cho dit : Les grandes actions ont souvent des débuts modestes. Pensez à un paisible étang. L’eau est comme le verre.
Chroniqueur Cho dit : Les hozen sont en effet des plus turbulents. Ils ne vivent pas vieux, peu atteignent leur vingtième anniversaire. Leurs chefs ont tous quatorze ou quinze ans. Étiez-vous sage à quatorze ans ? Méditez là-dessus !
Chroniqueur Cho dit : Les jinyu et leurs eauracles sont au cœur des plus grands évènements de l’histoire de la Pandarie.
Chroniqueur Cho dit : Les jinyu ont aussi d’humbles origines. Autrefois très primitifs, ils ont eu la chance de se trouver près des bassins enchantés du val.
Chroniqueur Cho dit : Les mantides ne sont guère des enseignants indulgents.
Chroniqueur Cho dit : Les Mogu étaient aussi des enfants. Ceux des titans. Ils furent jadis une armée de pierre, insensibles et dociles.
Chroniqueur Cho dit : Les Mogu maniaient de main de maître la douleur et la torture, la magie noire, et des armes brutales. Aucun Pandaren, Hozen ou Jinyu ne pouvait résister au pouvoir qu’ils détenaient. Et mon peuple avait peur.
Chroniqueur Cho dit : Les parents ne sont jamais certains de l’héritage qu’ils laisseront derrière eux.
Chroniqueur Cho dit : Les parents placent leurs enfants sur un chemin, mais ils ne savent pas toujours où il va les mener.
Chroniqueur Cho dit : Les pouvoirs magiques de ces bassins ont développé leur intelligence et fait grandir leur corps, faisant d’eux l’une des grandes cultures de la Pandarie ancienne.
Chroniqueur Cho dit : Les yaungols naquirent des flammes du destin. Ils survivent au-delà du mur, car ils refusent de se soumettre à toute loi autre que la leur.
Chroniqueur Cho dit : Leurs visions ont bâti des empires, libéré des esclaves, et averti notre dernier empereur de la Fracture qui a brisé Azeroth il y a de cela dix mille ans.
Chroniqueur Cho dit : L’empereur mogu ordonna alors l’extermination totale des sauroks. Cette tentative fut cependant vaine. Les sauroks infestent encore la Pandarie de nos jours.
Chroniqueur Cho dit : Mais je veux que vous vous imaginiez dans cette même vallée le jour où il est revenu de son voyage. Imaginez que vous étiez là quand les portes se sont ouvertes pour lui. À ce moment, notre empereur était devenu un être de pure lumière. Dépourvu de doutes, de peurs, de haine…
Chroniqueur Cho dit : Mais le roi ignorait que les nains ne se faisaient même pas confiance entre eux !
Chroniqueur Cho dit : Mais les titans finirent par tomber dans l’oubli. Et leurs créations furent frappées de la malédiction de la chair.
Chroniqueur Cho dit : Merci, cher empereur.
Chroniqueur Cho dit : Nos écrits anciens disent que les mantides ont toujours été là. Ils remontent à encore plus loin que les Mogu. D’où viennent-ils ?
Chroniqueur Cho dit : Nous autres Pandarens ne le savons pas.
Chroniqueur Cho dit : Nous savons qu’il s’est débarrassé de ses doutes dans la forêt de Jade. Qu’il s’est purifié du désespoir dans les terres sauvages de Krasarang. Qu’il a surmonté sa peur dans les steppes de Tanglong. Et qu’il a vaincu la colère, la haine et la violence dans les cimes des montagnes de Kun-Lai.
Chroniqueur Cho dit : Nul n’a jamais gagné l’amitié des mantides.
Chroniqueur Cho dit : Oh, mon élève, vous souhaitez étudier les mantides ? Soyez prévenu : la frontière pandarène est parsemée des tombes d’anciens élèves.
Chroniqueur Cho dit : Oh… on dirait que j’ai perdu mon épée.
Chroniqueur Cho dit : On dit que tous les arbres du val ont fleuri à son arrivée, et sont encore en fleur aujourd’hui.
Chroniqueur Cho dit : Parlons de la nature du pouvoir. Dans mes mains, je tiens une épée. Je vous le demande : qui détient le pouvoir ?
Chroniqueur Cho dit : Peut-être que si vous arriviez à vous lier d’amitié avec les mantides et gagner leur estime, ils vous apprendraient leurs secrets. Mais je vous préviens :
Chroniqueur Cho dit : Pour lui donner une leçon, le père emmena son petit dans la forêt pour lui montrer comment vivaient les hozen. « Vois-tu comment sont les hozen ? » lui demanda-t-il. « Veux-tu vivre comme cela ? »
Chroniqueur Cho dit : Puis ils tuèrent les sujets des Mogu.
Chroniqueur Cho dit : Que craignez-vous le plus au monde ? Avez-vous vaincu votre peur… ou votre peur vous a-t-elle vaincu ?
Chroniqueur Cho dit : Quel monde souhaitons-nous créer et transmettre à nos fils et à nos filles ?
Chroniqueur Cho dit : Quelle est la source de VOTRE pouvoir ? Réfléchissez bien avant de répondre. De nombreux aventuriers pensent à leurs armes, à leur équipement, ou à leurs tomes de puissance arcanique.
Chroniqueur Cho dit : Quelles valeurs décidons-nous d’inculquer à notre progéniture ?
Chroniqueur Cho dit : Qui, à présent, détient le pouvoir ?
Chroniqueur Cho dit : Qui, alors, était le plus sage ? Le père ou le fils ?
Chroniqueur Cho dit : Qu’apprendront nos enfants de nos propres erreurs ?
Chroniqueur Cho dit : Qu’est-ce qui arrive ensuite ? Je dois le découvrir !
Chroniqueur Cho dit : Seule une naine offrit son aide au roi. « Nous vous prêterons main-forte », dit Moira des Sombrefer. « Nous ferons confiance à nos frères nains, et nous leur montrerons ce qu’est la loyauté ! »
Chroniqueur Cho dit : Si seulement nous pouvions tous vivre comme le plus saint de tous nos empereurs. Abandonner tous nos fardeaux et vivre en harmonie avec le cosmos. Voilà, je le crois, le message qu’il nous a laissé… avant de devenir un avec la terre et de protéger la Pandarie des terreurs de la Fracture.
Chroniqueur Cho dit : Sur ordre des titans, ils combattirent les terribles serviteurs des Dieux très anciens. Ils érigèrent les montagnes et creusèrent le lit des rivières.
Chroniqueur Cho dit : Surpris, les esclaves pandarens tentèrent de le frapper. L’un après l’autre, ils échouèrent, car il interceptait leurs coups tel un danseur et esquivait leurs attaques tel un roseau sous le vent.
Chroniqueur Cho dit : Tout ce qui compte, c’est ce que vous en faites.
Chroniqueur Cho dit : Un jour, ce cher moine lança un défi aux autres esclaves. « Frappez-moi ! » demanda-t-il à ses frères.
Chroniqueur Cho dit : Un jour, un père en eut assez de la mauvaise conduite de son petit. « Tu te comportes comme un hozen ! », le grondait-il. Mais son fils continuait.
Chroniqueur Cho dit : Voici en revanche ce que savent les Pandarens : en décimant notre peuple, en massacrant des dizaines de milliers de pandarens, génération après génération, ils nous ont enseigné la valeur de la vie. Un don précieux mais fugace. Si facilement éteinte… en un instant.
Chroniqueur Cho dit : Voilà ce que les mantides nous ont appris.
Chroniqueur Cho dit : Votre voix. Vos mains. VOILÀ les outils des vrais héros. Utilisez-les bien… et vous changerez le monde.
Chroniqueur Cho dit : « J’ai appris que nous travaillons dur et nous échinons sur notre lopin de terre, alors que les hozen ont le monde entier pour jardin, répondit le petit. J’ai appris que nous plissons les yeux à la lumière d’une seule bougie, alors que les hozen ont la lumière des étoiles. J’ai appris que je vais à l’école tous les jours, alors que les hozen apprennent en faisant. »
Chroniqueur Cho dit : « Nos dos ont été durcis par les fouets des Mogu », leur dit-il. « Nos bras sont devenus plus forts d’avoir construit leurs forteresses. Nos esprits sont aiguisés d’avoir travaillé aux côtés de notre ennemi. Vous croyez que les Mogu sont plus forts ? Moi, je dis que nous sommes leur force ! »
Chroniqueur Cho dit : « Nous ne pouvons pas vous aider », dit le Nain barbe-de-bronze, « car si nous ne surveillons pas les Sombrefer, ils battront les Marteaux-Hardis et s’empareront de Forgefer ! »
Chroniqueur Cho dit : « Nous ne pouvons pas vous aider », dit le Nain marteau-hardi, « car si nous ne surveillons pas les Sombrefer, ils battront les Barbe-de-Bronze et s’empareront de Forgefer ! »
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